Sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897)
Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d’une famille chrétienne où elle grandit « entourée d’amour ». Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et la quintette de ses filles s’installent alors à Lisieux pour se rapprocher d’une partie de sa famille.
Deuxième drame qui ébranle Thérèse, enfant : sa sœur Pauline puis sa sœur Marie, qu’elle avait choisies successivement comme « petite mère » entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance, dans « une course de géant », vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu’à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d’entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888.
Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa « petite voie » d’abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s’offre à l’amour miséricordieux de Dieu.
Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle s’est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie pour le salut des pécheurs qui n’ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre « une pluie de roses » et de « passer son ciel à faire du bien sur la terre ».
Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant et les témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère, si nombreux que le pape parle d’un « ouragan de gloire ».
Sainte Thérèse est proclamée patronne des missions de l’Église universelle et docteur de l’Église en 1997.
(source : https://nominis.cef.fr)
Saint François-Xavier (1506-1552)
Sixième enfant de Jean de Jassi, famille de grande noblesse et de petites ressources, François-Xavier naît en 1506, au château de Xavier près de Pampelune.
Il quitte la Navarre pour faire ses études à l’Université de Paris. Il conquiert brillamment ses grades et reçoit une chaire au Collège de Beauvais. A Paris, il partage sa chambre avec un étrange étudiant, âgé de 40 ans, Ignace de Loyola. Au début, François-Xavier supporte mal celui que la pauvreté oblige à résider avec lui.
Longtemps il résiste à l’ardeur évangélique de ce nouveau converti, homme de feu, qui répète : « Que sert à l’homme de gagner l’univers, s’il vient à perdre son âme ? » Finalement conquis, lui aussi, ils prononcent ensemble des vœux, le 15 août 1534 et fondent la Compagnie de Jésus, les « Jésuites ».
Lorsque le pape demande des missionnaires pour l’Inde, François Xavier dit simplement : « Eh bien, me voici ! » En 1541, il part pour Goa, ville portugaise, qu’il ramène à la Foi. Pendant une dizaine d’années, il travaille à la conversion des Paravers, pêcheurs de perles, près de Ceylan. Son ardeur et les nombreux miracles ont un succès extraordinaire. Pour porter plus loin l’Évangile, il s’adresse aux Musulmans des îles Moluques, puis fonde les premières communautés chrétiennes au Japon. Son désir de faire connaître Jésus-Christ est si grand qu’il projette d’aller en Chine, mais il meurt, le 2 décembre, à l’île Sancian, en vue de la côte chinoise.
(Source : https://nominis.cef.fr)
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Sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897)
Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d’une famille chrétienne où elle grandit « entourée d’amour ». Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et la quintette de ses filles s’installent alors à Lisieux pour se rapprocher d’une partie de sa famille.
Deuxième drame qui ébranle Thérèse, enfant : sa sœur Pauline puis sa sœur Marie, qu’elle avait choisies successivement comme « petite mère » entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance, dans « une course de géant », vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu’à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d’entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888.
Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa « petite voie » d’abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s’offre à l’amour miséricordieux de Dieu.
Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle s’est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie pour le salut des pécheurs qui n’ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre « une pluie de roses » et de « passer son ciel à faire du bien sur la terre ».
Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant et les témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère, si nombreux que le pape parle d’un « ouragan de gloire ».
Sainte Thérèse est proclamée patronne des missions de l’Église universelle et docteur de l’Église en 1997.
(source : https://nominis.cef.fr)
Saint François-Xavier (1506-1552)
Sixième enfant de Jean de Jassi, famille de grande noblesse et de petites ressources, François-Xavier naît en 1506, au château de Xavier près de Pampelune.
Il quitte la Navarre pour faire ses études à l’Université de Paris. Il conquiert brillamment ses grades et reçoit une chaire au Collège de Beauvais. A Paris, il partage sa chambre avec un étrange étudiant, âgé de 40 ans, Ignace de Loyola. Au début, François-Xavier supporte mal celui que la pauvreté oblige à résider avec lui.
Longtemps il résiste à l’ardeur évangélique de ce nouveau converti, homme de feu, qui répète : « Que sert à l’homme de gagner l’univers, s’il vient à perdre son âme ? » Finalement conquis, lui aussi, ils prononcent ensemble des vœux, le 15 août 1534 et fondent la Compagnie de Jésus, les « Jésuites ».
Lorsque le pape demande des missionnaires pour l’Inde, François Xavier dit simplement : « Eh bien, me voici ! » En 1541, il part pour Goa, ville portugaise, qu’il ramène à la Foi. Pendant une dizaine d’années, il travaille à la conversion des Paravers, pêcheurs de perles, près de Ceylan. Son ardeur et les nombreux miracles ont un succès extraordinaire. Pour porter plus loin l’Évangile, il s’adresse aux Musulmans des îles Moluques, puis fonde les premières communautés chrétiennes au Japon. Son désir de faire connaître Jésus-Christ est si grand qu’il projette d’aller en Chine, mais il meurt, le 2 décembre, à l’île Sancian, en vue de la côte chinoise.
(Source : https://nominis.cef.fr)